L‘importance du silicium dans la cellule
Le silicium (Si) a un rôle indispensable et pourtant peu connu
Le silicium (Si) a un rôle indispensable et pourtant peu connu
Le silicium se trouve dans nos cellules, il n’est pas considéré comme un oligoélément ou minéral, mais comme un résonateur et amplificateur d’ondes électromagnétiques. Le silicium permet à nos cellules à travers les centrions de vibrer aux fréquences terrestres, ainsi que de recevoir de l’information arrivant du cosmos. La cellule oscille tel un gyroscope autour du centriole. Le centriole contient 90 % de silicium, celui-ci est couplé à l’ADN et permet par piézoélectrique de transformer en vibration par couplage.
Le silicium a été nécessaire à la création de la vie sur Terre. La prêle présente sur Terre depuis 250 millions d’années ne peut vivre sans silicium. Chez les mammifères, sa baisse est corrélée au vieillissement et à l’apparition de pathologies. Il a la capacité de se transmuter en calcium (Kervan) ou en azote dans les mitochondries (Jeanne Rousseau). Si son rôle indispensable se vérifie constamment, son mécanisme d’action n’est pas connu en biologie « orthodoxe ». En revanche, son rôle est parfaitement limpide en physique et médecine quantique : dans ce monde fait de particules et de vibrations, le silicium sert de capteur et de transmetteur comme il le fait dans le domaine de la communication (quartz des anciens talkies-walkies, micropuces des ordinateurs).
Cela avait été pressenti par Pasteur qui est un des découvreurs de l’effet rotatoire des substances chimiques sur la lumière, confirmé par Rudolf Steiner qui disait que le silicium captait les ondes venues de Jupiter, Saturne et Neptune et réaffirmé par le Professeur Rocard, éminent physicien nucléaire, qui expliquait qu’il jouait dans les systèmes biologiques le même rôle que dans les ordinateurs : « Il capte l’information et la retransmet aux bonnes fréquences, aux systèmes biologiques qui l’utilisent selon leurs besoins ». Il ajoutait que sans silicium, la Terre serait une planète inerte et muette.
Les progrès techniques réalisés depuis, capables de mesurer des émissions de photons et des courants électriques très faibles, confirment ces propos. Deux effets doivent être soulignés, car nécessaires à la compréhension des mécanismes :
Herbert Fröhlich, prix Nobel, a démontré que ces effets se rencontrent dans certaines parties des parois cellulaires. Les cellules du cerveau présentent cette propriété et celui-ci serait donc un gigantesque condensateur de type Bose-Einstein. Ces deux phénomènes se constatent à très basse température mais ont été découverts dans les systèmes biologiques cités à température ambiante compatible avec la vie.
Ainsi des intensités infimes peuvent aboutir à des effets importants : Fröhlich a montré que la différence de potentiel des membranes induisait un champ de 100 000V/cm ce qui est considérable.
« Je consomme depuis plus de 10 ans des aliments riches en silice telles que l’ortie, la prêle et plus récemmentl’argile. Le résultat est pour moi sans appel… » Michel Gautier
L’ADN se présente comme une antenne qui capte certains champs magnétiques et photons et les retransmettrait au centriole qui serait le vrai organe de commande de la cellule. Des émissions de photons par l’ADN ont été mises en évidence. André Bourrée qui a étudié tous les travaux et communications sur le centriole est arrivé à la conclusion que la division cellulaire était commandée non pas par le noyau mais par le centriole lorsque son niveau d’énergie atteint un certain seuil. Ces deux éléments, ADN et centriole, ont une très grande affinité pour le silicium.
L’ADN contient toujours du silicium (Kirschvink et Gould) ; il est utilisé pour l’extraction de l’ADN dans la fabrication des puces à ADN. Jacqueline Bousquet explique que l’ADN a une forme de solénoïde d’où transformation des champs en électricité et inversement mais ceci n’a pas encore été démontré. Par contre Gariaev, de l’institut de physique de l’Académie des Sciences de l’URSS, a montré que l’ADN possède la capacité de produire un champ perçu par un autre ADN dans le corps. Andrea Dotto, inventeur d’une machine aux effets thérapeutiques surprenants après application de chocs thermiques à l’ADN, avait remarqué que l’ADN, après la quarantaine, présentait des spires plus serrées ; le fait, passé inaperçu, est d’importance capitale car l’intensité des champs et courants électriques en dépend. La déperdition en silicium devient sensible à partir de la quarantaine ce qui évoque le rôle du silicium dans le maintient de la structure d’ADN.
Selon Moskovakis, cité par Michel Dogna, le centriole est constitué par un noyau de silicium entouré de 38000 molécules d’eau en vibration. Il s’agit là d’un mécanisme de transmission de l’information. Schrödinger, prix Nobel en 1933, avait décrit la mémoire de l’eau avant que Benveniste ne reprenne ce concept, lequel a été plus tard parfaitement illustré au moyen de photographies par Mazaru Emoto. Le centriole capte les émissions lumineuses ; ces émissions par les cellules et leurs effets biologiques ont été objectivés par plusieurs auteurs parmi lesquels Gurwitz, Popp, et plus récemment Albrecht Bueheler, lequel il a démontré que l’organite de la cellule qui capte ces rayons est le centriole. Ainsi le rôle mystérieux mais incontournable du silicium trouve ses explications par le biais de la physique quantique.v
Il s’ensuit des effets biologiques multiples dont deux doivent être soulignés : 1• Le silicium est nécessaire à la synthèse du collagène ; sans collagène la vie ne serait pas possible car c’est lui qui donne la forme et la structure des organes. Sans silicium il ne peut y avoir de collagène. 2• Les mitochondries qui fournissent notre énergie ont besoin de silicium pour fonctionner.
L’homme consomme en moyenne 5 à 6 mg de silicium par jour. Si l’alimentation ne les apporte pas, il puise alors dans les organes dont les plus riches sont par ordre, l’aorte, la peau, les articulations, le cerveau et les reins et dont la structure puis la fonction se dégradent progressivement.
Une supplément en silicium notamment à partir de la cinquantaine est fortement conseillé, voire indispensable. Pour autant, toutes les formes de silicium ne sont pas adaptées et certaines aboutissent même à des effets inverses. Il faut donc bien se renseigner avant d’entreprendre cette démarche. Le silicium provenant des plantes est la meilleure source de silicium absorbable. La prêle est la plante la plus riche en silicium. Mais elle présente des particularités d’utilisation qui nécessitent de bien se documenter avant d’entreprendre cette démarche, notamment, elle ne doit pas être mélangée à d’autres formes de silicium (silicates, acide orthosilicique, sels de silicium) ou à d’autres plantes. Contact : Docteur Baccichetti 08 92 561 877.
Le professeur Birchall a prouvé que le silicium à forte concentration élimine l’aluminium de la proline hydroxylase permettant au fer lié à cet enzyme d’agir à nouveau.
La méthode Chou Fasman, a établi que le silicium, à concentration sanguine égale à celle de l’aluminium, l’extrait des protéines TAU et des plaques beta amyloïdes. Lorsque la concentration en silicium est doublée, les protéines Tau et beta amyloïdes retournent à leur état initial.
Le silicium est un grand protecteur du cerveau. Cela avait été démontré par un autre spécialiste, Edith Carlisle, qui a mis en exergue que l’administration d’aluminium provoque la maladie d’Alzheimer uniquement chez les sujets âgés lesquels ont perdu leur silicium. Les sujets jeunes sont protégés de cette maladie par leur silicium. L’intoxication par l’aluminium accélère la perte de silicium du cerveau.
Références : L’Homme électromagnétique « , Cyril W.Smith – Simon Best ; « Physique de la matière, de la matière à l’esprit », Raphaël Cannenpasse-Riffard ; « Biologie de la lumière », Fritz-A. Popp; Robert O.Becker – L’homme électrique A Bourrée – La centriologie BP 30802 35408 Saint-Malo Cedex Gariaev PP Wave Genome Public Profit Bornens « Is the centriole bound to the nuclear membrane? » Nature, 1977, n °270 pages 80-82.